Valparaiso, encore....

Oui bonjour,
Profitant d'un samedi ensoleillé, bim ! on est parti. Il y'avait du soleil, il y'avait de la calor, Damien était avec moi, d'où le on est parti.
Ci-joint quelques photos, commentées pour la plupart (en tout cas, mon aisance avec la langue française aujourd'hui prouve que, peut-être, l'immersion hispanophone commence à se faire ressentir)...

La ville n'a rien perdu de ses couleurs :

Un antique ascenseur nous permet de prendre un peu de hauteur :

La désinvolture s'est apparemment emparée de certaines ruelles...

Encore quelques vues colorées...

Sur cette photo, le cliché Sudaméricain typique avec ses couleurs, ses VW rondelettes et ses chiens errants...

Près de la maison de Neruda, la séance photo kitsh....


... où un bronze pervers s'éprend de Damien


Place à la poésie, maintenant :

Et place aux caisses en bois aussi (les premières de ce blog, il me semble...)

Je rebondis sur cette histoire de bois pour vous présenter Valpa, ma nouvelle gratouille acquise 20 000 malheureux pesos à un vieux bricolo... Elle semble avoir déjà biieeennn vécu, comme l'attestent les multiples stigmates la cisellant de toute part ! J'ai cru comprendre qu'elle lui appartenait mais que pour d'obscures raisons il souhaitait s'en séparer. "Toutefois", me dit-il, "si quelque disfonctionnement venait troubler l'échange charnel que tu pourrais développer avec l'instrument, fais m'en part et je tâcherai de permettre à nouveau le passage du fluide mystique...". Tout ça en espagnol...

Ci dessous, une borne de pompier, Valpa et Damien

Et sur le chemin du port, cet immeuble effondré, un beau chaos.

Voilà, fin. Valparaiso est vraiment une ville fantastique.